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{{Box-batiment|A=Rue de Lausanne 154, 1202 Genève|B=[https://www.google.com/maps/place/46.2243739979486,6.14918866687923 Google maps]|C=[[:Category:Voie:Rue de Lausanne|Rue de Lausanne]][[Category:Voie:Rue de Lausanne]]|D=[[:Category:662131020-Mon-Repos|662131020-Mon-Repos]][[Category:662131020-Mon-Repos]]|E=Equipement collectif|F=0|G=0, pour 34.11 mètres.||I=46.2243739979486,6.14918866687923}}
 
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Construit par G. Epiteaux en 1924-1926 pour le Bureau International du Travail. Accueille aujourd'hui l'Organisation mondiale du Commerce.  
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Cinquième parc, anc. propriété La Rochefoucauld, puis Bloch, vendu par la Conf. helvétique pour l’édification du Bureau international du travail (BIT) (voir sur la carte), constr. après concours national par Georges Epitaux en 1923-26. Auj. Centre William Rappard et siège de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). A l’extérieur, conception horizontale et égalitaire de la ruche de travail rompue par la lanterne cubique du N magnifiée par quatre vases Art déco. Important décor sculpté. A l’entrée principale, rue de Lausanne, deux statues, « La Paix » et « La Justice », et huit pilastres « cosmographiques » de Luc Jaggi. Devant le perron des anc. salles de commission, côté lac, trois allégories féminines de Maurice Sarki, qui décora aussi la façade N d’un haut-relief « Génie ailé ». Sur le pourtour de la façade, seize médaillons représentant les métiers par Léon Perrin, le dix- septième, « La dactylographe », ayant été déposé dans le parc après l’agrandissement S en 1937-38 par Georges Epitaux.
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Encadrement de porte et bronze sculpté par Uberti & fils de Lausanne, menuiseries de Held & Cie de Montreux, ferronnerie de Wanner & Cie. A l’intérieur, peinture de (Fig. 432) Maurice Denis dans l’escalier, 1931 ; bibliothèque avec boiseries néoclass. de Held & Cie, décorées par le sculpt. Léon Perrin. Dans le bureau de la direction, boiseries de Schlatter, de Saint-Gall, et sculptures de Wilhelm Meier, de Zurich. Agrand. et transf. dès 2009. Dans le parc, entre autres œuvres d’art, monumentale sculpture de James Vibert, « L’Effort humain », inaug. 1935. A l’entrée du parc, sur la rue de Lausanne, salle de conférence du Centre William Rappard par Ugo Brunoni, 1995-97, caractérisé par sa façade aveugle côté rue revêtue de granit noir, en contraste avec la luminosité int.
  
 
*1926 : inauguration
 
*1926 : inauguration
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*1957 : surélévation de l'aile nord et construction de 2 nouvelles ailes pour compléter le quadrilatère par Raoul Engeli, René Pahud et Claude Bigar
 
*1957 : surélévation de l'aile nord et construction de 2 nouvelles ailes pour compléter le quadrilatère par Raoul Engeli, René Pahud et Claude Bigar
 
*1996-1998 : Salle de conférence par Ugo Brunoni devant le bâtiment
 
*1996-1998 : Salle de conférence par Ugo Brunoni devant le bâtiment
*2012-2013 : Agrandissement par wittfoht architekten (Stuttgart)<ref>[https://projets.batidoc.ch/world-trade-organization-wto Documentation Suisse du Bâtiment]</ref>
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*2012-2013 : Agrandissement par wittfoht architekten (Stuttgart)<ref>[https://projets.batidoc.ch/world-trade-organization-wto Documentation Suisse du Bâtiment]</ref><ref>L'édifice est cité dans XXe, un siècle d'architectures à Genève, éditions Infolio, page 364.</ref><ref>mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d'histoire de l'art en Suisse, page 808</ref>[[Category:Guide artistique de la Suisse 4a]]
 
 
*L'édifice est cité dans XXe, un siècle d'architectures à Genève, éditions Infolio, page 364.
 
  
 
[[Catégorie:Documentation Suisse du Bâtiment]]
 
[[Catégorie:Documentation Suisse du Bâtiment]]

Version du 19 février 2019 à 15:49

Bâtiment OMC

Rue de Lausanne 154, 1202 Genève

Google maps
rue: Rue de Lausanne
secteur : 662131020-Mon-Repos
type : Equipement collectif
construction : 0
étages[1] : 0, pour 34.11 mètres.
Carte

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Cinquième parc, anc. propriété La Rochefoucauld, puis Bloch, vendu par la Conf. helvétique pour l’édification du Bureau international du travail (BIT) (voir sur la carte), constr. après concours national par Georges Epitaux en 1923-26. Auj. Centre William Rappard et siège de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). A l’extérieur, conception horizontale et égalitaire de la ruche de travail rompue par la lanterne cubique du N magnifiée par quatre vases Art déco. Important décor sculpté. A l’entrée principale, rue de Lausanne, deux statues, « La Paix » et « La Justice », et huit pilastres « cosmographiques » de Luc Jaggi. Devant le perron des anc. salles de commission, côté lac, trois allégories féminines de Maurice Sarki, qui décora aussi la façade N d’un haut-relief « Génie ailé ». Sur le pourtour de la façade, seize médaillons représentant les métiers par Léon Perrin, le dix- septième, « La dactylographe », ayant été déposé dans le parc après l’agrandissement S en 1937-38 par Georges Epitaux.

Encadrement de porte et bronze sculpté par Uberti & fils de Lausanne, menuiseries de Held & Cie de Montreux, ferronnerie de Wanner & Cie. A l’intérieur, peinture de (Fig. 432) Maurice Denis dans l’escalier, 1931 ; bibliothèque avec boiseries néoclass. de Held & Cie, décorées par le sculpt. Léon Perrin. Dans le bureau de la direction, boiseries de Schlatter, de Saint-Gall, et sculptures de Wilhelm Meier, de Zurich. Agrand. et transf. dès 2009. Dans le parc, entre autres œuvres d’art, monumentale sculpture de James Vibert, « L’Effort humain », inaug. 1935. A l’entrée du parc, sur la rue de Lausanne, salle de conférence du Centre William Rappard par Ugo Brunoni, 1995-97, caractérisé par sa façade aveugle côté rue revêtue de granit noir, en contraste avec la luminosité int.

  • 1926 : inauguration
  • 1937-1938 : Ailes nord et sud ajoutées par Georges Epitaux
  • 1957 : surélévation de l'aile nord et construction de 2 nouvelles ailes pour compléter le quadrilatère par Raoul Engeli, René Pahud et Claude Bigar
  • 1996-1998 : Salle de conférence par Ugo Brunoni devant le bâtiment
  • 2012-2013 : Agrandissement par wittfoht architekten (Stuttgart)[2][3][4]
  • Données fournies en opendata par le site SITG
  • Documentation Suisse du Bâtiment
  • L'édifice est cité dans XXe, un siècle d'architectures à Genève, éditions Infolio, page 364.
  • mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d'histoire de l'art en Suisse, page 808