Chemin de la Paumière 20

anc. maison Perrier par Vincenzo Manera, 1780, fermant la perspective de la rue St-Victor avec deux étages sur rez. C’est un des plus beau bâtiment de Carouge. Première étage avec cheminées et lambris. Porte d’entrée surmontée d’un motif scupté; caves voûtées en briques. En 1895, réparation des façades; nouvelles réfections dans la première moitié du XXe siècle^[1]^[2]

La Grande Paumière, anc. terre des Bonnet acquise en 1725 par Jean Brès-Plantamour, réfugié prot. d’Anduze, qui fit bâtir l’imposante maison de maître v. 1727 (date inscr. sur la porte de la dépendance). Les façades marquées de chaînages aux angles et dans les deux ressauts de l’axe N- S s’apparentent, avec leur haute toiture cintrée, aux maisons bourgeoises bernoises. Philippe et Suzanne Plantamour-Brès firent, v. 1770, embellir la façade S et reconstr. le grand escalier int. par le maître maçon Vaucher-Faton (?) et le serrurier Jean Conrad Staib. En 1834, vente au Comité de l’Ecole rurale de jeunes filles qui transforma les bât. en foyer d’accueil. Auj. Foyer La Paumière, Fondation officielle de la jeunesse.<ref>mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d’histoire de l’art en Suisse, page 858</ref><ref>Objet classé du canton de Genève, MS-c154lien^[3]</ref>Category:Répertoire des immeubles et objets classés Genève

Notes et références

mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d’histoire de l’art en Suisse, page 866 ↩ ↩
Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 123 ↩ ↩
http://ge.ch/geodata/SIPATRIMOINE/SI-EVI-OPS/EVI/edition/objets/2008-18936.htm ↩