Maison Eynard

Maison bourgeoise construite vers 1829-1830 par Jean-Gabriel Eynard, vis-à-vis de son palais abritant actue lement des bureaux et des logements pour étudiants. Cette maison constitue un bel exemple d’architecture néo-classique de l’époque de la Restauration. Son architecte ne nous est pas connu, mais il pourrait s’agir de Samuel Vaucher, actif dans le quartier, ou de Luigi Bagutti, auteur notamment d’une transformation de l’église de Carouge. Édifiée sur une parce le irrégulière, e le est composée suivant un plan trapézoïdal presque régulier. Sa be le façade est percée de trois larges serliennes au « piano nobile » qui éclairent l’enfilade des pièces de réception. Deux niches abritent des urnes rehaussant l’ensemble. A l’intérieur, de nombreux éléments d’origine ont subsisté, tels que cheminées, frises, parquets et boiseries. Aménagements intérieurs et travaux de restauration partiels en 1989-1990.(Source: Département des travaux publics et de l’énergie / Service des monuments et des sites. Répertoire des immeubles et objets classés. Chêne-Bourg / Genève : Georg, 1994, pp. 478-479)[1][2][3]

Maison bourgeoise construite vers 1829-1830 par Jean-Gabriel Eynard, vis-à-vis de son palais abritant actuellement des bureaux et des logements pour étudiants. Cette maison constitue un bel exemple d’architecture néo-classique de l’époque de la Restauration. Son architecte ne nous est pas connu, mais il pourrait s’agir de Samuel Vaucher, actif dans le quartier, ou de Luigi Bagutti, auteur notamment d’une transformation de l’église de Carouge. Édifiée sur une parcelle irrégulière, elle est composée suivant un plan trapézoïdal presque régulier. Sa belle façade est percée de trois larges serliennes au « piano nobile » qui éclairent l’enfilade des pièces de réception. Deux niches abritent des urnes rehaussant l’ensemble. A l’intérieur, de nombreux éléments d’origine ont subsisté, tels que cheminées, frises, parquets et boiseries. Aménagements intérieurs et travaux de restauration partiels en 1989-1990.(Source: Département des travaux publics et de l’énergie / Service des monuments et des sites. Répertoire des immeubles et objets classés. Chêne-Bourg / Genève : Georg, 1994, pp. 478-479)<ref>Objet classé du canton de Genève, MS-c225lien[4]</ref>[[Category:Répertoire des immeubles et objets classés Genève]]<ref>Cité dans « Le Grand Siècle de l’architecture genevoise », édité par la société d’art public, page 11.</ref><ref>mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d’histoire de l’art en Suisse, page 760</ref>

[[Catégorie:Guide artistique de la Suisse 4a]]
[[Catégorie:Le Grand Siècle de l’Architecture genevoise]]
[[Catégorie:1829]]
[[Catégorie:Néo-classique]]

Notes et références

  1. Objet classé du canton de Genève, MS-c225[https://ge.ch/sitg/geodata/SIPATRIMOINE/SI-EVI-OPS/EVI/edition/objets/2004-2747.htm]
  2. Cité dans « Le Grand Siècle de l’architecture genevoise », édité par la société d’art public, page 11.
  3. mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d’histoire de l’art en Suisse, page 760
  4. https://ge.ch/sitg/geodata/SIPATRIMOINE/SI-EVI-OPS/EVI/edition/objets/2004-2747.htm

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Informations

Adresse(s) :
Rue Jean-Daniel-COLLADON 2 (Genève), 1204 Genève

Voie(s) : Rue Jean-Daniel-COLLADON

Secteur(s) statistique(s) : 2101080 - Bourg-de-Four

Commune(s) : Genève

Localisation

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