Rue de la Corraterie 10-26

Le terrain est laissé en mains privée par le Conseil militaire et s’y construit en 1828 des immeubles très modernes pour Genève. La municipalité fixe un cahier des charges précis et des limites de hauteurs, de gabarit et des matériaux. C’est une première et un exemple pour Genève. Les immeubles suivent un peu la logique bâtie à la Rue Beauregard un siècle plus tôt. Premiers immeubles avec trottoirs de Genève, en 1828. Cité dans « Le Grand Siècle de l’architecture genevoise », édité par la société d’art public, page 13. Chaque groupe de trois maisons comprend un fronton central : le premier (No 24) à l’origine sans percement en accord avec la simplicité du Musée Rath voisin, auj. avec oculus ; le deuxième (No 18) percé d’une fenêtre thermale ; le troisième (No 12) agrémenté d’une serlienne.^[1] File:27 Dec 2021 21-16-44.JPG

Notes et références

Le terrain est laissé en mains privée par le Conseil militaire et s’y construit en 1828 des immeubles très modernes pour Genève. La municipalité fixe un cahier des charges précis et des limites de hauteurs, de gabarit et des matériaux. C’est une première et un exemple pour Genève. Les immeubles suivent un peu la logique bâtie à la Rue Beauregard un siècle plus tôt. Premiers immeubles avec trottoirs de Genève, en 1828. Cité dans « Le Grand Siècle de l’architecture genevoise », édité par la société d’art public, page 13. Chaque groupe de trois maisons comprend un fronton central : le premier (No 24) à l’origine sans percement en accord avec la simplicité du Musée Rath voisin, auj. avec oculus ; le deuxième (No 18) percé d’une fenêtre thermale ; le troisième (No 12) agrémenté d’une serlienne.<ref>mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d’histoire de l’art en Suisse, page 762</ref> [[File:2017-02-25_17-30-38.jpg|thumb|none|400px|Vue générale, en février 2017.]] <gallery>Fichier:27 Dec 2021 21-16-44.JPG</gallery> [[Catégorie:Samuel Vaucher]]