Théâtre de la Comédie

Construit par H. Baudin en 1911-1913, à l’initiative d’Ernest Fournier et de sa femme, la cantatrice Lily Brélaz, membres de l’Union pour l’Art social. Façade néoclassique surmontée d’un fronton. Sur les clés des portes, potraits sculptés par Eric Hermès : Monsieur Fournier (La Tragédie), Madame Fournier (la Comédie) et Baudin grimaçant (la Satire). Intérieur plusieurs fois transformé. Va être remplacé par la Nouvelle Comédie du côté des Eaux-Vives. Architecture domestique classique et germanique. Pour marquer caractère public et culturel du lieu, rupture avec échelle des immeubles moyens. [1][2][3]

Notes et références

  1. L’édifice est cité dans XXe, un siècle d’architectures à Genève, éditions Infolio, page 42.
  2. Cité dans L’INSA, Inventaire Suisse d’Architecture 1850-1920, volume 4 (1982)
  3. Cité dans « Le Grand Siècle de l’architecture genevoise », édité par la société d’art public, page 56.

Construit par H. Baudin en 1911-1913, à l’initiative d’Ernest Fournier et de sa femme, la cantatrice Lily Brélaz, membres de l’Union pour l’Art social. Façade néoclassique surmontée d’un fronton. Sur les clés des portes, potraits sculptés par Eric Hermès : Monsieur Fournier (La Tragédie), Madame Fournier (la Comédie) et Baudin grimaçant (la Satire). Intérieur plusieurs fois transformé. Va être remplacé par la Nouvelle Comédie du côté des Eaux-Vives. Architecture domestique classique et germanique. Pour marquer caractère public et culturel du lieu, rupture avec échelle des immeubles moyens. <ref>L’édifice est cité dans XXe, un siècle d’architectures à Genève, éditions Infolio, page 42.</ref><ref>Cité dans L’INSA, Inventaire Suisse d’Architecture 1850-1920, volume 4 (1982)</ref><ref>Cité dans « Le Grand Siècle de l’architecture genevoise », édité par la société d’art public, page 56.</ref> [[Catégorie:Henry Baudin]] [[Catégorie:Louis XVI]] [[Catégorie:Théâtre]]

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