Rue Jacques-DALPHIN 41-49

===Rue Jacques-DALPHIN 41[1]=== Première implantation entre 1792 et 1812. ===Immeuble 41A et 41B=== Situés dans la cour ===Rue Jacques-DALPHIN 43[1]=== Première implantation entre 1792 et 1812. Le bâtiment a vraisemblablement été surélevé le second étage est en roche tendis que le rez et le premier sont en molasse). ===Rue Jacques-DALPHIN 45[1]=== Première implantation entre 1792 … Lire la suite

Rue Jacques-DALPHIN 39

Première implantation entre 1792 et 1812. Le bâtiment actuel date de 1970; néanmoins la façade a été reconstruite à l’identique (la toiture a été rehaussée). [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 94 ↩

Rue Jacques-DALPHIN 37

Première implantation entre 1906 et 1940. Le bâtiment d’habitation actuel date de 1983 (TP 78 413). [1] ===Immeuble 37A=== Dans la cour. Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 94 ↩

Rue Jacques-DALPHIN 29

Première implantation vers 1792; bâtiment actuel construit en 1974. Récupération de trois encadrement de roche du bâtiment préexistant, réemploi sur cour des colonnes récupéres lors de la disparition des anciens abattoirs. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 91 ↩

Rue Jacques-DALPHIN 21

Première implantation vers 1792; bâtiment d’habitation construit en 1966 (TP 51984). [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 90 ↩

Rue Jacques-DALPHIN 19

Première implantation vers 1792; transformation et aménagement des combles en 1969. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 89 ↩

Place des Charmettes 1

Première implantation vers 1792; entre 1940-1975 ouverture de deux arcades et d’une porte en lieu et place de trois fenêtres. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 86 ↩

Rue Jacques-DALPHIN 34

Place libre de construction jusqu’en 1950. Construction alors d’un bâtiment avec chapelle (Saint-François d’Assises), siège de la Provvidenza, institution de bienfaisance des sœurs italiennes. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 84 ↩

Rue Saint-Victor 18

Première implantation vers 1782. Réparation de la façade en 1887. Le décor à l’entrée est attribué à G. Mazzone (voir aussi la [[Rue Jacques-DALPHIN 36]].). A relever la remarquable porte de style Louis XVI.[1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 104 ↩

Rue Jacques-DALPHIN 36

Maison Pallandre, construite pour C. Pallandre, économe de l’hôpital militaire, attribué à l’architecte G. Mazzone. Porte d’entrée similaire à celle de l’immeuble situé à la [[Rue Saint-Victor 18]]. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 84 ↩