Maison Mivella, aujourd’hui Rosset. L’expression architecturale des parties en pierre de taiile est soulignée par l’application d’un lait de chaux. Le bâtiment est construit vers 1792. Transformation en 1980 (lucarnes). [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 44 ↩
Bâtiment construit entre 1783 et 1792. Démoli en 1982 et reconstruit, en conservantiles façades. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 44 ↩
Construit vers 1792 (première implantation). Bâtiment actuel de 1972 (TP 62 082). [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 44 ↩
Construit en 1760. Successivement Café de la Marmite,ele Vidome et aujourd’hui Café de la Plage.[1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 43 ↩
Première implantation entre 1792 et 1812. En 1940, se trouve à cet emplacement deux bâtisses. Le bâtiment actuel date de 1960 (TP 43 422), c’est un bâtiment d’habitations. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 135 ↩
Atelier de mécanique et bureau, construit par l’architecte G. Liechti en 1935 (TP 8076). [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 43 ↩
Première implantation vers 1792. Emplacement de l’ancienne poterie Knecht. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 42 ↩
Parceeles libres de construction dans les années 1960. Bâtiment actuel construit en 1983 (TP 79 242). [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 42 ↩
Première implantation vers 1778-1792. Bâtiment actuel (habitations) construit en 1964, magasin à grande surface au rez-de-chaussée. Le bâtiment actuel est construit dans le même gabarit que l’ancien. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 40 ↩
Première implantation vers 1781. Transformation et aménagement des combles en 1968. Encadrements et tablettes en molasse habillés au ciment et recouverts de peinture. Café de la Belle Epoque puis Restaurant du Plat de Jade. [1] Notes et références Cité dans « Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle », page 40 ↩
